Notre établissement est ouvert aux jeunes issus de tous les collèges de l’agglomération roubaisienne et de tous les milieux socio-culturels.

Sur quelle base ?
Notre projet éducatif propose des raisons de vivre et d’espérer à la lumière des valeurs de l’Evangile : « Qui est le plus grand ? Les disciples se mirent à discuter pour savoir lequel d’entre eux était le plus grand. Jésus se rendit compte de ce qu’ils pensaient. Il prit alors un enfant, le plaça auprès de lui, et leur dit : « celui qui reçoit cet enfant à cause de moi, me reçoit moi-même ; et celui qui me reçoit, reçoit aussi celui qui m’a envoyé. Car celui qui est le plus petit parmi vous tous, c’est lui qui est le plus grand ». (Évangile selon Saint-Luc, 9.46)

De quelle façon ?
1 – Mettre le jeune en projet – « La connaissance te donnera de la joie » (Proverbes 2.1)

Être une école du savoir et de la vie :

  • promouvoir une école de toutes les intelligences,
  • cultiver la patience,
  • travailler en cohérence et exigence,
  • surprendre,
  • dialoguer en acceptant de ne pas avoir la solution, être humble : la vérité évolue et se construit,
  • prendre en compte les fragilités et les faiblesses de chacun.

Responsabiliser le jeune :

  • le faire grandir,
  • lui faire confiance,
  • le rendre acteur,
  • le considérer dans sa globalité,
  • développer son esprit critique,
  • lui confier des responsabilités,
  • lui expliquer les finalités éducatives des sanctions,
  • l’aider à être force de proposition : pour lui, pour l’autre.

Accompagner le jeune dans son projet :

  • l’aider à réussir son orientation,
  • l’amener à construire son projet professionnel,
  • lui donner le goût de l’effort et développer ses compétences,
  • lui permettre d’appréhender et vivre l’entreprise,
  • l’inviter à donner du sens à sa vie, à trouver son chemin.

2 – Oser l’ouverture à la vie et au monde – « Dieu m’a montré que je ne devais considérer personne comme impur ou indigne d’être fréquenté ». (2e lettre de Paul aux Corinthiens)

« On ne peut être ouvert à l’autre que si on est ouvert à soi », élèves, parents, enseignants, personnels, nous sommes tous concernés.

Ouverture à l’autre – « Se reconnaître soi-même comme un autre » :

  • accueillir ce que je ne suis pas,
  • cultiver nos différences,
  • ne pas juger, ne pas jeter l’anathème,
  • éviter l’amalgame,
  • éduquer au respect,
  • accepter les fragilités et les faiblesses de l’autre.

Ouverture sur la ville, l’Europe, l’universel :

  • être citoyen : trouver l’équation « droit = devoir »,
  • échanger c’est partager nos cultures,
  • éveiller la curiosité.